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Deux choses qui m'embêtent

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Deux choses qui m'embêtent

Je vais vous raconter deux choses qui m'irritent au plus haut dégré.

La première est quand je suis en retard. Je me précipite dans la ville de Reims, essayant d'arriver à l'heure à la réunion. Il semble qu'il y ait 40,000 feux tricolores qui poussent du béton et 39,999 brillent rouge quand ils me voient approcher.

L'autre est jaune, changeant en rouge juste avant que j'arrive.

Dans ma Peugeot, je suis tout agité : " Pourquoi tous ces feux rouges ? Qui mettrait un feu rouge juste là ? Il n'y a qu'une voiture par jour qui vient de cette petite rue à coté. Je parie qu'ils le font pour nous ralentir " ! La montre au-dessus du tableau de bord s'accélère.

Finalement, il y a une occasion d'aller un peu plus vite et seulement une voiture devant. Je peux gagner un peu de temps. Mais lui ! Il roule à cinq kilomètres par heure en-dessous la limite de vitesse. " Ai, yi, yi ! Que faites-vous, mon pote ? Vous croyez que c'est une promenade du dimanche ? (Enfin, c'était le dimanche). Ne savez-vous pas qu'il y a des gens qui doivent être à l'heure ? C'est une rue, pas un parc public " ! (Je pense cela mais je ne le dis pas parce que je risque de le voir plus tard dans l'assemblée. Il sera peut-être plus disposé d'écouter l'évangile si je ne l'ai pas insulté avant).

Lui, est-il gêné ? Pas du tout. Il continue sa progression sans soucis et moi en train de piquer une crise nerveuse derrière lui. Il apprécie l'architecture de notre belle ville et les oiseaux aussi. Il écoute sans doute de la musique classique. Ma tension sanguine s'élève comme je regarde la montre courir vers l'heure du rendez-vous.

Enfin, j'arrive à la réunion--à l'heure--après ce qui semblait des années de stress. Et ils commencent dix minutes en retard.

Et la deuxième chose qui me tracasse ?

C'est le dimanche. Je pars bien avant l'heure pour être un peu en avance pour la réunion. Je roule tranquillement dans la ville, le coeur plein de joie et sérénité, écoutant une belle musique. J'apprécie le beau soleil et la vie en générale quand tout d'un coup…...

...…tout d'un coup je regarde dans le rétroviseur et je vois cet idiot collé à ma parechoc par derrière. C'est évident qu'il est pressé et je ne roule pas assez vite pour lui. Il essaie de me doubler mais c'est impossible (" C'est la ville, espèce d'andouille ! Vous ne pouvez pas doubler ").

Il me colle comme le chewing gum colle à ma chaussure. Ma tension de sanguine s'élève. J'oublie la belle musique. Je lui lance des regards méchants par la rétroviseur.

Honnêtement, le monde serai mieux avec un peu de patience (et si je partais quelques minutes plus tôt). Enfin, Dieu nous partage un petit secret. Il estime tellement la foi patiente qu'il permet que nous tombions dans des situations où la foi patiente grandira. Ces expériences n'incitent pas toujours de bons résultats des examens de la  tension du sanguine si vous n'avez pas appris à vous relaxer et lui faire confiance.

Ecoutez ce qui dit Eugène Peterson : " Il y en a encore : Nous continuons de crier notre louange même quand nous sommes coincés par les troubles, parce que nous savons comment des troubles peuvent développer la patience passionnée en nous, et comment cette patience forge le fer trempé de vertu, nous gardant toujours alertes pour ce que Dieu fera prochainement. Dans une telle anticipation nous n'avons jamais le sentiment de manquer quelque chose. Au contraire-nous ne pouvons pas trouver assez de conteneurs pour contenir tout ce que Dieu répand généreusement dans nos vies par l'Esprit Saint " (Romains 5 : 3,4, version Le Message).

La vie colle t-elle à votre parechoc derrière maintenant ? Au lieu d'exploser de stress pourquoi pas : a) prendre un jour de congé et aller ailleurs pour regarder un peu autres choses ; b) regarder profondément la Parole de Dieu pour constater ce que Dieu a promit à son peuple dans des situations difficiles ; c) commencer de le louer et lui dire qu'il est votre abri, votre calmant, et Celui qui t'aidera à coup sûr.

Faites cela, même quand vous n'en avez pas envie et juste derrière vous la vie fait " biiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiip " sur son klaxon. Ralentissez et croyez au Seigneur Jésus.

Quand vous regardez vers Lui au lieu de regarder dans le rétroviseur à ce problème qui vous serre de près, la vie change. La belle musique de louange sort de la radio et vous voyez des oiseaux et la belle architecture en passant dans la vie.

A propos, si vous serrez quelqu'un de près dans votre impatience-détendez-vous ! Vous n'aimez pas que les autres vous le faites . Ne le faites pas aux autres. (Souviens-toi de cela le dimanche prochain, David).

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Un enfant vient ? Ha, ha ! Bonne chance !

Dynamique stratégies pour bien élever vos enfants

babies-2242682  340Quelqu’un plaisantait : « Quand vous voyez vos petits-enfants, vous êtes finalement content de ne pas avoir tué vos enfants ! »

Je me souviens du jour où ma jeune épouse de 20 ans est revenue de chez le médecin avec une nouvelle qui nous a transportés tous les deux au septième ciel : elle attendait un enfant !

Voici le contexte : j'avais 22 ans, j'étais en fac et j’allais décrocher mon diplôme de sciences politiques quelques mois plus tard. Je travaillais à mi-temps en plus de mes études et Phyllis avait un petit travail avec un salaire de misère.

Nous n'avions, en réalité, aucune idée de ce qu'un bébé représentait, mais nous l'avons rapidement appris.

Les femmes enceintes vomissent beaucoup, le saviez-vous ? En plus, elles sont parfois désagréables, ce qui rend leur mari tout aussi grognon. Il semble que la seule chose qui soit plus difficile qu'être une femme enceinte est d'être marié à une femme enceinte !

Pourtant quand notre petit Steve a fait son apparition, nous étions de nouveau aux anges — du moins avant qu'il ne rentre de la maternité. Une fois à la maison, la réalité a été tout autre : il ne voulait pas dormir de la nuit !

Nous l'avons porté à tour de rôle pour essayer de l'endormir, mais il ne s'assoupissait que quand il voulait et, une fois réveillé, il désirait sans cesse avoir de la compagnie. À cette époque, je venais juste de finir mes études et travaillais pour un journal ; j'étais en plus pasteur dans une petite église de campagne.

Le sommeil de qualité devint un luxe que nous goûtions rarement. Et en outre — comme tout bébé, certes — il avait des couches, ce qui est au début une rude épreuve pour quelqu'un qui n'a pas l'habitude de les changer.

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